Voilà l´idée n´est pas de moi (et les phrases non plus) mais j´ai trouvé ça sur plusieurs forums et je trouve le concept marrant...
"Trouvez Le Mois Ou Vous Etes Né(e):
janvier : je suis parti(e)avec
février : j´ai couché(e)avec
mars : j´ai tué(e)
avril : j´ai chatouillé(e)
mai : j´ai giflé(e)
juin : j´ai volé(e)
juillet : j´ai mangé(e)
août: je me suis marié(e) avec
septembre : j´ai battu(e)
octobre : je me suis habillé(e) comme
novembre : j´ai enflammé(e)
décembre : j´ai dormi(e) avec
Ensuite Trouvez Le Jour De Votre Anniversaire:
1 : Moi même
2 : Un citoyen
3 : Un singe
4 : mon meilleur ami
5 : Un éléphant
6 : Un petit gros
7 : Un poilu
8 : une chaise
9 : Un chat
10 : une souris
11 : une truie
12 : un gorille
13 : un babouin
14 : bob l´éponge
15 : un phoque
16 : un ours
17 : un macaque
18 : une carotte
19 : une banane
20 : un dauphin
21 : dora
22 : pikatchu
23 : un hamster
24 : un ouistiti
25 : un marsupilami
26 : un bisounours
27 : un chat
28 : un concombre
29 : une baleine
30 : un mec
31 : une fille
Et Enfin La Première Lettre De Votre Prénom:
A : pour sauver le futur
B : car je le déteste
C : et j´aime ça
D : pour un biscuit
E : Car je n´aime pas ça
F : Et je me trouve beau / belle
G : Pour être roi ou reine
H : Et c´est nul
I : pour la popularité
J : et je trouve sa drôle
K : pour aucune raison
L : et je me suis engueulé avec maman
M : pour être un héros
N : car j´aime les ringards
O : car j´aime la vie
P : pour la pâte à modeler
Q : et ça m' a plus!^^
R : car je suis une tapette
S : pour mon copain / ma copine
T : et un rhinocéros m´a foncé(e) dessus
U : car je suis fou/folle
V : et je me suis fait taper dessus par un petit de 10ans
W : car je n´ai pas d´ami(e)s
X : et je sens une odeur venant de mes pieds
Y : et sa me soule
Z : pour une patate
Déposez votre phrase Laquelle sera la plus marrante ?
jeudi 12 avril 2007
vendredi 6 avril 2007
Loup-Garou ou Vampires?
Hey, vous aimez l'atmosphère des créatures de la nuit? Envie de vous amusez? Rejoignez le clan, Allez là-bas : http://s1.bitefight.fr/c.php?uid=119165
samedi 17 mars 2007
Sagas MP3
Connaissez vous ce doux parfum de poésie qui se mêle aux embruns du vent? Connaissez vous la chaleur d'un soleil levant qui s'ouvre sur un monde fleuri?
Eh bien oubliez tout ça!
Car avec les sagas MP3, c'est baston, blague nulle est humour douteux, qui suit une troupe de personnages au teint blafard ayant pour seules armes un humour qui a le poid d'une enclume et qui ait capable en un seul coups de vous mettre K.O!
En bref, des heures de rigolades insensées devant votre chaîne hi-fi ou accroché a votre lecteur MP3!
Mais comme rien ne vaut la pratique, je vous laisse decouvrir : http://www.nazegoule.org/annuaire.php?categorie=9
Un conseil, ne les ecoutez qu'a partir de La Taverne de Kadelfek, les premières sont assez nulles! où tout du moins je ne les apprécient point, mais à vous de voir!
Eh bien oubliez tout ça!
Car avec les sagas MP3, c'est baston, blague nulle est humour douteux, qui suit une troupe de personnages au teint blafard ayant pour seules armes un humour qui a le poid d'une enclume et qui ait capable en un seul coups de vous mettre K.O!
En bref, des heures de rigolades insensées devant votre chaîne hi-fi ou accroché a votre lecteur MP3!
Mais comme rien ne vaut la pratique, je vous laisse decouvrir : http://www.nazegoule.org/annuaire.php?categorie=9
Un conseil, ne les ecoutez qu'a partir de La Taverne de Kadelfek, les premières sont assez nulles! où tout du moins je ne les apprécient point, mais à vous de voir!
Christie
Je sais, c'est mon blog, et pourtant, je vais rendre un hommage a Al' en inaugurant ce lieu de discute et d'échange très (pas) frequenté avec une de ces nouvelles!
A 8h05, heure précise, minutée et secondée à l’horloge du bureau près, Christie entrait dans les locaux et lança de sa voix fluette et désagréable un « Bonjour ! » non comparable au son mélodieux des mésanges au bord de votre fenêtre. Elle levait la tête d’une façon très difficile à regarder, Georges d’ailleurs se disait qu’on aurait dit un coucou. La Christie en question posa minutieusement les vingt-six cafés en tout genre : cappuccino, avec, sans lait, avec, sans sucre, expresso, à la française, à l’italienne, à la mauritanienne : du tout et du n’importe quoi buvable à petites gorgées sombres. Elle se rendit à son bureau en passant par tous les autres, affichait ce même masque de Mardi Gras qui lui servait de visage. « Ouh, là ! » les papiers volaient, le rouge à lèvres collait. Elle eut une envie pressant et se rapprocha de l’Endroit, quand elle entendit des sons. Les Collègues, avec un grand C, sirotaient leurs breuvages. Ils parlaient un peu tous à la fois, mais on aurait dit qu’une seule voix résonnait :« Cette Christie. Elle est chiante. J’veux dire, gentille, mais chiante, à crever. J’peux pas la supporter, elle et ses manières ! Pénible, mauvaise, ringarde, ignoble. Ce sont les mots qui conviennent. On la prend pour une cruche, on boit dedans et elle aime ça. Une couillonne, chiante qui plus est. »Une baffe, deux baffes, un coup de poing et un coup de boule dans le cœur de Christie. Elle sourit de ses grandes dents jaunâtres, profita de ce beau troupeau et déclama :« Hey ! Je vous invite tous à manger, ce soir, chez moi. Bonne bouffe, cocktails et rencontres à tout va. 20h00. »Les Co-cos, surpris, n’osèrent pas renvoyer la demande dans sa face de Christie. Ils acceptèrent, donc.A 20h05, heure précise, minutée et secondée à l’horloge de son cœur près, la fameuse servit son repas. Ils prirent tous place, goûtèrent au mets. « Kesskecékssa ? » demanda un mec à lunette, un chauve qui souriait. « À votre avis ? » répondit-elle. Du poulet, de ma dinde, du veau, du bœuf, du lapin, de l’autruche. Au final, tout y passa, mais ils se demandaient toujours ce que c’était.Christie se leva de table, alla à la cuisine, et revint, une bassine de sang aux deux mains moites.« J’ai pas d’cruche à manger. Vous me prenez pour une pigeonne ? Très bien. Je suis folle, je l’assume. Et les fous sont cannibales, ils dévorent leurs congénères. J’ai donc décidé que vous mangerez du pigeon, ce soir. »Plusieurs allèrent dégobiller des plumes, et tous partirent dans les cinq minutes.Christie regarda sa montre. Il était 20h36, et elle se disait en son for intérieur qu’il en resterait plus pour elle.
Voila, merci Al' de nous faire partager ton talent! Pour plus de nouvelles, et autres dessins de notre artiste, suivez le guide : http://love-paper.blogspot.com/
A 8h05, heure précise, minutée et secondée à l’horloge du bureau près, Christie entrait dans les locaux et lança de sa voix fluette et désagréable un « Bonjour ! » non comparable au son mélodieux des mésanges au bord de votre fenêtre. Elle levait la tête d’une façon très difficile à regarder, Georges d’ailleurs se disait qu’on aurait dit un coucou. La Christie en question posa minutieusement les vingt-six cafés en tout genre : cappuccino, avec, sans lait, avec, sans sucre, expresso, à la française, à l’italienne, à la mauritanienne : du tout et du n’importe quoi buvable à petites gorgées sombres. Elle se rendit à son bureau en passant par tous les autres, affichait ce même masque de Mardi Gras qui lui servait de visage. « Ouh, là ! » les papiers volaient, le rouge à lèvres collait. Elle eut une envie pressant et se rapprocha de l’Endroit, quand elle entendit des sons. Les Collègues, avec un grand C, sirotaient leurs breuvages. Ils parlaient un peu tous à la fois, mais on aurait dit qu’une seule voix résonnait :« Cette Christie. Elle est chiante. J’veux dire, gentille, mais chiante, à crever. J’peux pas la supporter, elle et ses manières ! Pénible, mauvaise, ringarde, ignoble. Ce sont les mots qui conviennent. On la prend pour une cruche, on boit dedans et elle aime ça. Une couillonne, chiante qui plus est. »Une baffe, deux baffes, un coup de poing et un coup de boule dans le cœur de Christie. Elle sourit de ses grandes dents jaunâtres, profita de ce beau troupeau et déclama :« Hey ! Je vous invite tous à manger, ce soir, chez moi. Bonne bouffe, cocktails et rencontres à tout va. 20h00. »Les Co-cos, surpris, n’osèrent pas renvoyer la demande dans sa face de Christie. Ils acceptèrent, donc.A 20h05, heure précise, minutée et secondée à l’horloge de son cœur près, la fameuse servit son repas. Ils prirent tous place, goûtèrent au mets. « Kesskecékssa ? » demanda un mec à lunette, un chauve qui souriait. « À votre avis ? » répondit-elle. Du poulet, de ma dinde, du veau, du bœuf, du lapin, de l’autruche. Au final, tout y passa, mais ils se demandaient toujours ce que c’était.Christie se leva de table, alla à la cuisine, et revint, une bassine de sang aux deux mains moites.« J’ai pas d’cruche à manger. Vous me prenez pour une pigeonne ? Très bien. Je suis folle, je l’assume. Et les fous sont cannibales, ils dévorent leurs congénères. J’ai donc décidé que vous mangerez du pigeon, ce soir. »Plusieurs allèrent dégobiller des plumes, et tous partirent dans les cinq minutes.Christie regarda sa montre. Il était 20h36, et elle se disait en son for intérieur qu’il en resterait plus pour elle.
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